c'est nul, mais j'assume...

contente de savoir que ca va, euh moi... toujours pareil... aller je retourne bosser bonne aprem gros bisousss

Revoilà Paola et son petit âne, Pedro. Vous en souvenez-vous ? J’en avais parlé dans un précédent message.
Ce jour là, Paola s’était rendue au haras voisin, montée sur Pedro. Arrivé là, le propriétaire, un ami, lui dit de laisser son âne dans le pré, avec les chevaux.
Pauvre Pedro ! Les chevaux au pelage lisse et brillant sous le soleil le toisaient de haut et se moquaient de lui, de son pelage terne et rêche. La colère le prit. Il se roula dans le crottin et chargea le chevaux, se frottant contre eux et les faisant chuter.
Au bruit, le propriétaire accourut et cria à Paola qui le suivait :

“Pedro l’âne poisse les chevaux et les fait tomber !”.

Spoiler:

Pour le laboratoire Pétrole Hann uniquement :

Spoiler:

ça me manquait !

j adore (du mal a suivre des fois mais j adore ) gros bisousssssssssss

Deux publications, “Je ne culpabilise plus” et “Vieux complexes : s’en défaire”, spécialisées dans l’orthophonie et dans les handicaps de l’élocution ont disparu de chez certains détaillants. De ce fait, les lecteurs ont dû s’abonner, ce qui les oblige à se procurer tous les numéros, un peu moins cher, certes, mais les prive du choix de ne lire que certains numéros.
Tant pis pour les marchands de journaux indélicats qui ne veulent pas avoir de considération pour leurs clients et vont jusqu’à se priver de revenus pour ça : il faut savoir faire preuve de patience et de respect dans la vie.

Aux dernières nouvelles, les deux publications envisagent de faire peau neuve et de changer de titre... C’est vrai que les détaillants impatients prenaient la mouche en entendant certains clients lui dire :
"Vieux con, vieux con-con..."
ou
"Jeune cul-cul, jeune cul-cul..."

Excusez-moi, c’est vraiment affligeant... Je manque un peu d’inspiration ces derniers temps...

Les poules étaient sorties gratter la terre de la cour de la ferme avec leur air d’intelligence habituel. Profitant de l’absence de caquetage, les œufs avaient toute la matinée pour tenir leur grande réunion du syndicat des opprimés (pas des œufs primés... (dur, dur...)) de la basse-cour.

À l’ordre du jour, les courants d’air venant de l’ouverture du poulailler. Le choix était difficile entre les rideaux de perles bruyant et inefficace, la porte que les poules laisseront ouverte et qui fermée ne laisse pas passer la lumière, la porte de verre qu’on ne voit pas et dans laquelle on se cogne... Les débats devinrent vite houleux car il y avait autant d’avis que d’œufs.

Afin de trancher, le parti communiste poulailler majoritaire, dont la devise est “unissons nos coquilles”, avait réquisitionné des œufs pour former une commission qui choisit de mettre un rideau léger en guise de porte : il laisse passer la lumière, n’a pas besoin d’être ouvert et protège des courants d’air. Le choix filtra avant que la commission ne rende public son rapport, et on chuchotait dans le poulailler :

“œufs requis communistes affectent un beau voilage.”

Spoiler:

sink a écrit:

Les poules étaient sorties gratter la terre de la cour de la ferme avec leur air d’intelligence habituel. Profitant de l’absence de caquetage, les œufs avaient toute la matinée pour tenir leur grande réunion du syndicat des opprimés (pas des œufs primés... (dur, dur...)) de la basse-cour.

À l’ordre du jour, les courants d’air venant de l’ouverture du poulailler. Le choix était difficile entre les rideaux de perles bruyant et inefficace, la porte que les poules laisseront ouverte et qui fermée ne laisse pas passer la lumière, la porte de verre qu’on ne voit pas et dans laquelle on se cogne... Les débats devinrent vite houleux car il y avait autant d’avis que d’œufs.

Afin de trancher, le parti communiste poulailler majoritaire, dont la devise est “unissons nos coquilles”, avait réquisitionné des œufs pour former une commission qui choisit de mettre un rideau léger en guise de porte : il laisse passer la lumière, n’a pas besoin d’être ouvert et protège des courants d’air. Le choix filtra avant que la commission ne rende public son rapport, et on chuchotait dans le poulailler :

“œufs requis communistes affectent un beau voilage.”

Spoiler:

elle vient de loin, mais elle me fait rire.

Ah le Zan ! Tout le monde, un jour ou l’autre, a sucé cette pâte au réglisse* ! “Le petit pain Zan, exquis et bienfaisant” y avait-il sur l’emballage : un parfum de pub des années 60, non ?
Le pain en question était une tablette, vaguement rainurée comme une toute petite plaque de chocolat ; on n’arrivait jamais à la casser suivant les rainures et on n'obtenait que des morceaux triangulaires et pointus qui blessaient la bouche ou, quand il faisait trop chaud et humide, la tablette se pliait en collant aux doigts.
C’est pour cela que les accros de la pâte de réglisse préfèrent le bâton de Zan qui, contrairement à la tablette de pâte, les fait rire de bonheur :

à long Zan, fans de la pâte rient !

Spoiler:

* réglisse : masculin ou féminin ? A priori, réglisse est féminin pour désigner la plante et masculin (plus rarement féminin) pour en désigner les extraits et la partie utilisée (rhizome). Écrire des nullités augmente ma culturation...

elle est jolie celle là ^^

Ce matin, dans la voiture, j'écoutais la radio. Original, non ?
Passe un air de Marie Laforêt : "les vendanges de l'amour". Si elle pouvait nous lâcher la grappe...

très bonne celle-là, de ma part, et de Phoebs qui est à côté de moi.

Coûte que coûte, l’armée des barbares avançait pour atteindre la ville et se livrer au pillage. Leur chef ne voulait rien savoir : malgré les accidents du terrain, il voulait que ses hommes restent bien groupés en rang, espérant ainsi effrayer las autochtones par leur discipline et leur endurance. Quand la horde atteignit les marais proches de la ville, elle s’engagea dedans sans ralentir l’allure.
Mais voilà, les barbares ignoraient la présence de très nombreuses sangsues dans les eaux fétides ; si nombreuse qu’elles tapissaient en une épaisse couche le lit du faible courant qui traversait le marais.
Sur ces petits vers qui ne gênaient jamais personne, les brutes dérapèrent, se firent mordre, et s’en fut fait du bonne horde alignée :

la sangsue alitée, fait minime, fêle bonne horde des hommes.

Spoiler:

Génial.
Je me demande comment tu arrives à trouver tout celà!!
Bisous

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais ma dépression est cyclique : des hauts et des bas. Cycles quotidiens, hebdomadaires et saisonniers se chevauchent...

Ne confondez pas “cycle dépressif” et “vélo dégonflé”...

t'as de belles roues de vélo tu sais

rah mais j'aime!

Bien que lassées par les nombreuses demandes plus farfelues les unes que les autres émanant de toutes sortes d’hurluberlus, les autorités archéologiques égyptiennes avaient quand même donné le feu vert pour une exploration de la grande pyramide à une équipe constituée d’un alpiniste américain et d’un égoutier parisien.
Une équipe étrange, mais logique pour la recherche qu’elle voulait effectuer. L’égoutier, féru d’Égypte ancienne, était très à l’aise dans les galeries et tunnels. L’alpiniste, lui, était là pour examiner le haut des salles et rechercher des nouveaux passages en hauteur.
Après de nombreuses recherches dans des documents anciens, l’égoutier était persuadé que les amphores utilisée anciennement était fermées par des sortes de capsules dont on n’a jamais retrouvé la trace. C’était ça que les deux compagnons étaient parti chercher.

Arrivé dans une salle, ils levèrent la tête et virent une poutre qui traversait la pièce la pièce de part en part. Sur cette poutre, une trentaine de statues représentant des grenouilles était posée.

— Regarde, dit l’alpiniste, elles sont creuses, elles ont une ouverture devant et derrière !

— Si tu allais voir ce qu’il y a dedans ? Peut-être qu’avec un peu de chance...

L’alpiniste, s’aidant de cordes, grimpa et explora l’intérieur de chaque statue. Son compagnon le mit en garde et lui dit de faire attention.

— T’es haut, fit l’égoutier.

— Hey, cap in ten frog ass !* s’écria l’alpiniste tout excité, oubliant son français et sa distinction de langage.

*Hé, capsule dans dix culs de grenouille !

Spoiler:

j'ai grillé mon neurone en essayant de comprendre LOL

De retour de voyage, le roi fit mander son chambellan.

— Alors, mon brave, quelles nouvelles depuis notre départ ?

— Sire, répondit le chambellan, plusieurs petites choses sans grande importance. D’abord, nous avons essayé de combattre la mauvaise odeur du bouc de votre troupeau de chèvre en lui accrochant au cou des vases remplis d’essences aromatiques. Hélas, cela le faisait tituber ! Et même maintenant, après avoir ôté les vases, il titube encore un peu, mais certes plus beaucoup !
J’ai fait faire un vitrail pour remplir l’ouverture en demi cercle au dessus du portail de la chapelle.
Pour l’organiste aveugle, j’ai fait arrondir la touche centrale du mi afin qu’il trouve de suite le bon octave pour jouer.
Enfin, pour faciliter la manœuvre de la herse, j’ai fait mettre une corde savamment nouée.

— Bien, répondit le monarque, pendant que le mâle bouc sans vase tangue guère, mirons ton mi-rond, ton “mi” rond, tes nœuds.

Spoiler:

écroulée !

sacré sink

merci celui j'ai put le comprends sans tué trop de neurones

Pas trop d’inspiration, alors des petites devinettes sur les citations célèbres, pour tenter de garder le sourire :

Qui a dit : “C’est vous qui voyez...”

Spoiler:

Qui a dit : “S’il n’en reste qu’un seul, je serai celui là !” ?

Spoiler:

Qui a dit, fort troublé, “Que d’eau, que d’eau...” ?

Spoiler:

Je crois que je ne dois pas avoir beaucoup de neurones parce que je viens seulement de comprendre que la solution était caché dans tes post à chaque fois.